Développement d'un polymère qui corrige les blessures à la tête

Diverses blessures à la tête, peu importe la façon dont elles ont été contractées, peuvent se retourner contre eux. Le plus grand danger sera celui des dommages invisibles. De tels cas se produisent assez souvent. Des scientifiques de l'Université de Pennsylvanie ont créé un polymère spécial qui change de couleur lorsqu'une blessure à la tête est détectée. La valeur est la force des dégâts reçus.

Le dernier développement sera utilisé dans les casques de protection avec la capacité de signaler instantanément un dommage reçu. Les chercheurs envisagent d’utiliser cette technologie dans les domaines sportif et militaire. Le projet a été présenté pour la première fois au public lors de la 250ème réunion de la American Chemical Society, à Boston.

Premières expériences

Selon les développeurs, le polymère à couleur changeante est capable de donner des signaux qui évitent des dommages supplémentaires. Au début, ils ont essayé d'utiliser des cristaux photoniques produits par une nouvelle méthode de lithographie holographique. Mais cette méthode ne convenait pas aux scientifiques et n’atteignait jamais la production de masse, car il fallait trop d’argent pour créer un tel matériau. Les substances polymères sont venues en aide aux chercheurs et sont parfaitement adaptées à leurs objectifs, y compris au coût de leur production.

Les derniers casques de protection contribueront à améliorer la sécurité des athlètes impliqués dans le hockey ou le football américain. Et leurs qualités positives pour les soldats participant à des opérations militaires permettront de sauver de nombreuses vies ou d’éviter de graves conséquences pour la santé.

Ce développement est unique en son genre, pour le moment il n’existe pas d’analogues au monde. Diverses structures militaires et organisations sportives du monde entier s’intéressent à ce projet. Les derniers tests sont en cours et la production de masse de tels casques est possible dans un avenir proche. Mais tout d’abord, elle sera reçue par l’armée américaine, qui est engagée dans le financement de ce projet.