Apparemment, la pensée du président français de créer une armée européenne, nommée PESCO, a une suite chaleureuse et constructive. Il s’agit notamment de créer un établissement d’enseignement pour la formation des agents de renseignement.
Selon certains médias européens, il a été décidé à Bruxelles de créer un seul centre paneuropéen de formation à l'espionnage. Il sera basé à Chypre.
Selon les experts, une institution d’espionnage pédagogique est une étape logique du processus de création d’une armée paneuropéenne.
Cependant, malgré le fait que l'idée venait de se former, elle avait déjà des opposants et des opposants. Dans le projet d’espionnage européen, deux États de l’UE, le Royaume-Uni et Malte, ont catégoriquement refusé de participer.
En outre, certains dirigeants de pays européens sont gênés par le fait qu'ils envisagent de déployer des écoles de renseignement à Chypre. Une partie de la formation des euroshrilliens aura lieu en Grèce. Comme on le sait, ces pays sont considérés comme pro-russes dans l'Union européenne.
En outre, comme le rapportent les médias, conformément au projet de création d'une armée paneuropéenne, certaines fonctions ont déjà été réparties entre les États occidentaux. Dans les meilleures traditions du Comité de planification d'Etat de l'URSS.
L'Allemagne et la France vont donc commencer à mettre au point un drone ultra-souple et à moderniser un hélicoptère Tiger. Et l'Italie va créer un avion de reconnaissance, conçu pour opérer à haute altitude.